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il y a 7 ans
En début de semaine, j’avais trouvé dans ma boîte à lettre un message laconique de Laurent « Rendez vous mardi midi, dans le café que tu connais, pour finaliser la rencontre de samedi prochain. Apportes avec toi quelques photos des lieux, afin que je puisse mieux m’imprégner de l’endroit et de ce qu’il sera possible de faire là bas. Je te promets quelques surprises… ».
Le mardi, à midi pile, je l’attends devant le café, un album de photos sous le bras. Il ne tarde pas à arriver et nous pénétrons dans l’estaminet. Installés à une table, au milieu des autres consommateurs, je commence à lui montrer des photos de l’endroit. Je lui fais voir fièrement le petit terrain, bien clos de murs pris sous différents angles. C’est certain on peut y faire ce qu’on veux. Les murs font environ deux mètres cinquante hauteur et il n’y a quasiment pas de vis-à-vis. Il parait visiblement intéressé. Le préau couvert de tuiles avec ses deux poteaux massifs retient également son attention, sur les dalles de graviers une traverse de chemin de fer fait office de banc. Puis nous terminons cette visite photographique par le caveau (c’est ainsi que les gens du pays nomment ce genre de local). C’est une pièce pas très grande avec une belle cheminée rustique, dans l’angle opposé une sorte de bar permet de prendre debout quelques rafraîchissements, le sol est carrelé de larges dalles d’ardoises dissymétriques. Une vieille poutre traverse le plafond de la pièce. Je range mes photos plutôt satisfait de la présentation des lieux que j’ai pu faire et le regarde, il semble content de découvrir un tel endroit.
Tout en buvant un café, il sort d’une chemise, à laquelle je n’avais pas prêté attention lors de son arrivée, des feuilles dactylographiées qu’il me tend pour que j’en prenne connaissance. Lorsque je commence à lire, la surprise est totale, j’ai d’un seul coup l’impression que le ciel me tombe sur la tête. Je pense que je dois changer de couleur. C’est totalement surréaliste, j’en ai le souffle coupé, rien que le titre me laisse pantois.
Sa voix me ramène à la réalité, calment mais fermement, il me demande de lire avec attention les pages et de les signer si je suis d’accord. Pour une surprise, c’est une surprise, il m’avait dit lors de précédents échanges qu’il n’était pas très au fait de ce genre de rapport, mais là, f o r c e est de constater, qu’il doit avoir fait certains progrès dans ce domaine ou alors qu’il s’est fortement documenté sur la question.
Je regarde les pages, et commence la lecture du document
CONTRAT d’ESCLAVAGE
-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-
Esclave n. et adj.
- Personne qui est sous la dépendance absolue d’un maître
qui peut en disposer comme de tout autre bien.
adj. Un peuple esclave.
Par ext.
Personne qui subit la domination, l’emprise de quelqu’un.
Article 1 : Laurent accepte que Pierre devienne son esclave
Article 2 : Pierre se résigne et reconnais désormais comme Maître, Laurent
Article 3 : Dans le présent contrat les prénoms sont désormais remplacés pour Laurent par « MAÎTRE » et pour L’esclave cité à l’article 2 par « SLAVE 1852 ».
Article 4 : Dès la signature du présent contrat « MAÎTRE » a désormais tous les droits pour dresser « SLAVE 1852 » à sa guise.
Article 5 : Seul le « MAÎTRE » peut juger du degré d’obéissance ou de désobéissance de « SLAVE 1852 », et employer à cet effet tous les moyens de punition et de coercition qui lui sembleront adaptés pour rendre « SLAVE 1852 » plus docile.
Article 6 : lorsqu’il sera en présence de « MAÎTRE », « SLAVE 1852 » ne devra porter que ce que lui impose son « MAÎTRE ».
Article 7 : En l’absence d’ordre, « SLAVE 1852 » devra rester entièrement nu afin de ne rien dissimuler de son intimité et de montrer sa totale dépendance et appartenance vis-à-vis de son « MAÎTRE ».
Article 8 : « MAÎTRE » interdit désormais à « SLAVE 1852 » tout plaisir, et se réserve en conséquence le droit de lui en dispenser s’il estime que « SLAVE 1852 » le mérite.
Article 9 : « MAÎTRE » pourra confier « SLAVE 1852 » à toutes personnes qui pourraient parfaire son éducation, sa totale dépersonnalisation. Ceux-ci auront alors les même droits sur « SLAVE 1852 » que son « MAÎTRE ».
Article 10 : « SLAVE 1852 » reconnaît que son « MAÎTRE » possède désormais tous les droits sur son corps et accepte sans aucune discussion possible d’être totalement avili marqué et puni sévèrement si son « MAÎTRE » le juge nécessaire.
Article 11 : Chacune des deux parties « MAÎTRE » et « SLAVE 1852 » disposent d’un délai de vingt quatre heures pour dénoncer le présent contrat. Passé ce délai celui-ci prend pleinement effet.
Article 12 : Le présent contrat est conclu pour une durée illimitée, et seul le « Maître » peut procéder à sa résiliation, notamment en cas de vente ou de rétrocession de l’esclave.
Article 13 : Dès la signature du présent contrat, et passé le délai de rétractation prévu à l’article 11, « SLAVE 1852 » en sa qualité d’esclave n’a plus aucun droit.
Fait en deux exemplaires à NEANTS le
Lu et approuvé Lu et approuvé
« Le MAITRE » « SLAVE 1852 »
Laurent ex Pierre
J’ai lu le document d’une seule traite prenant conscience que j’allais tout à coup franchir un cap. Il me tend un stylo et malgré quelques hésitations, je paraphe le contrat. Il m’en remet un exemplaire, afin, dit il, que je m’imprègne bien des termes de ce contrat de et de ce que cela impliquera désormais pour moi.
Je n’en reviens pas, je viens de signer un contrat où j’accepte d’être réduit en esclavage total lors de nos rencontres, au milieu des clients et du brouhaha d’un café, comme s’il s’agissait d’une simple transaction commerciale sans que personne ne se doute de rien.
Lorsque nous ressortons, je dois certainement avoir l’air hagard, un peu comme si je n’étais déjà plus moi. Avant de nous séparer il me dit tout simplement « Rendez vous samedi à neuf heures au parking de Limrip, tu me conduiras dans ton joli terrain et je m’occuperais alors sérieusement de toi puisque tu le mérites et que désormais tu es mon esclave ». Je ne sais que répondre et nous repartons chacun de notre côté.
De retour au bureau, je ne peux m’empêcher de relire à plusieurs reprises le document afin de bien le comprendre, ça à l’air sérieux car certains articles du contrat semblent avoir un aspect définitif voire irrémédiable et tout retour en arrière paraît ensuite impossible. Par contre à aucun moment il ne me vient à l’esprit de dénoncer le contrat dans un délai de 24 heures. Si bien que le mercredi midi le contrat entrait en vigueur et prenait alors tous son sens mais je trouvais que cela n’avait rien changé à ma vie car je restais malgré tout persuadé que c’était simplement pour pimenter cette rencontre du samedi.
Je ne le connaissais pas du tout sous cet angle là. J’ai bien du mal à me concentrer sur mon travail. A f o r c e de relire la définition figurant au début du document j’ai quelques inquiétudes. Par moment je me dis que c’est une mauvaise blague qu’il m’a faite et qu’il est incapable de me faire subir des choses pareilles. A d’autres, par contre, je pense qu’il va réellement le faire et que je vais devenir sa chose. Parfois, je me suggère de ne pas me rendre à ce rendez vous en trouvant mille faux prétextes, mais là je crains de passer pour un dégonflé, de manquer de courage.
Je passe ainsi le reste de la semaine à mijoter dans mon jus, traversant de nombreuses périodes d’angoisse et d’inquiétude, de courage et de lâcheté, voyant peu à peu la fatidique échéance se rapprocher.
Le samedi matin, je me lève après avoir passé une nuit plutôt agitée, j’ai très mal dormi comme tout le reste de la semaine d’ailleurs. J’ai du mal à comprendre comment, avec cette simple feuille de papier, il peut avoir réussi à prendre une telle emprise dans mon esprit. Est ce du à la fatigue ? J’ai déjà l’impression d’être sous sa dépendance. Je prends un rapide petit déjeuner, puis une douche, regarde longuement mon corps, j’ai les nerfs à fleur de peau, une folle envie de me caresser me tenaille le bas ventre, ma main esquisse une douce caresse. Je stoppe mon mouvement, il va s’en apercevoir et ne va pas manquer de me punir, c’est écrit dans le contrat. Alors rapidement je m’habille, monte en voiture et me rends au lieu du rendez-vous.
Lorsque j’arrive il est déjà là, un sac de sport à la main. Dès que je m’arrête, il monte dans la voiture et, regardant sa montre, me fait remarquer que j’ai trois minutes de retard. Je bredouille que j’ai été retardé par la circulation, alors perfidement il ajoute d’un air détaché « Si tu ne t’étais pas tripoté sous la douche, tu aurais été à l’heure, avec moi tu apprendras l’exactitude ». Ses paroles m’atteignent de plein fouet. Comment peut il savoir ? J’essaie de me justifier, je lui dis que ce n’est pas vrai, il me regarde fixement, attendant un aveu, je finis par baisser la tête et lui avouer dans un souffle qu’il a raison, mais j’ajoute, pour minimiser mon acte, que je ne suis pas allé au bout. Il s’esclaffe « Je te savais maso, mais on a pas commencé que tu as déjà deux punitions au compteur. Je crois bien qu’il va falloir te faire suivre un dressage des plus sérieux et extrêmement sévère pour t’apprendre à filer droit » Je rougis, vaincu, je n’ose plus prononcer un mot de tout le trajet, je le regarde de temps en temps discrètement, il a l’air totalement détaché, Il ne dit rien sans doute perdu dans ses pensées ou imaginant peut être déjà ce qu’il va m’infliger.
Nous arrivons sous un fin crachin breton, je me gare un peu après l’entrée du petit chemin qui permet de rejoindre le terrain et son caveau. Dans le coffre de la voiture je prends une épaisse couverture en laine car il ne fait pas très chaud. Il prend son sac de sport et nous descendons le petit chemin. Il marche près de moi ne disant rien, intérieurement j’ai l’impression de revivre l’histoire qui m’est arrivé il y a une quarantaine d’années, mais il y a aujourd’hui une différence importante, car ce jour là, je marchais entièrement nu tenu fermement par celui allait me supplicier, et évidemment, même si je semblais totalement passif, j’étais m o r t de peur et pas du tout consentant, alors qu’aujourd’hui je marche encore vêtu dans une sorte de jeu pas très innocent pour lequel j’ai donné, il y a quelques jours, mon accord et paraphé un contrat.
Nous n’avons croisé personne et j’en suis bien content, car j’imagine les voisines se poser des questions du genre que fait il par ce passage avec ce monsieur qu’on ne connaît pas ? Quelques mètres avant l’entrée du caveau il m’a demandé de lui donner les clefs, et accélérant son allure est parti devant moi. Lorsque j’arrive, il me fait entrer dans la pièce se conduisant comme s’il était chez lui.
Une fois dans le caveau, à peine la porte refermée à clef, et avant que je n’aie eu le temps de déposer la couverture, je l’entends me dire :
«Alors Slave 1852, tu oublies déjà l’article 7 de ton contrat ? Faut il qu’on te le fasse rentrer dans ta tête à coup de fouet ou te le faire copier cent fois comme à l’école. Tant pis pour toi, cela te fera une troisième punition à recevoir. Ca doit être vraiment ton jour de chance »
Comme entrée en matière, je ne suis pas déçu, je sens que ça va être plutôt sévère. Je préfère me taire et je me déshabille entièrement. Je lui donne mes vêtements et les range dans son sac. Je ne pourrais me rhabiller que quand il le souhaitera.
Je me trouve ainsi totalement nu exposé à son regard. Il me jauge, tournant autour de moi tel un félin songeant à sa future proie. Je me sens assez mal à l’aise d’être ainsi exposé nu, devant une autre personne qui est vêtue, cela accroît mon sentiment d’infériorité et de dépendance vis à vis de ce maître à qui je dois désormais une obéissance sans faille. Je ne sais que faire de mes mains alors presque inconsciemment je les place derrière mon dos et je baisse les yeux honteux, regardant le sol ne sachant ni que dire, ni que faire. Lorsqu’il m’ordonne de m’agenouiller, je m’exécute rapidement d’une manière assez mécanique, et dès qu’il me précise que lorsque je me trouve dans cette position mes genoux doivent être distants d’au moins quarante centimètres, j’obéis tout aussi vite, pour lui montrer que je fais preuve de bonne volonté à me soumettre.
Je reste dans cette position pour l’écouter
«Comme tu le sais, Slave 1852, depuis ce matin tu as déjà accumulé trois punitions, l’article 7 de ton contrat précise que non seulement tu dois être nu mais ne rien dissimuler de ton intimité à ton maître, en conséquence je vais t’épiler le pubis. J’avais tout d’abord pensé à une discrète épilation de tes parties ainsi que de la base du sexe. Malheureusement comme il faut que tu apprennes l’exactitude, j’ai décidé d’en épiler un peu plus, ainsi à chaque fois que tu iras aux toilettes cela te rappellera mieux ta nouvelle condition d’esclave et la nécessité d’être à l’heure aux rendez vous fixés par ton Maître »
Presque malgré moi, et oubliant ma position, j’émets une vive protestation
« Mais Laurent, tu n’as pas le droit…. »
Sèchement il me coupe la parole
« C’est pas la peine de protester, Slave 1852, et en plus tu me tutoies et tu m’appelles par mon prénom. Je te rappelle que suis Ton MAÎTRE, tu dois me vouvoyer, tu n’as pas à émettre d’avis, de toute façon l’article 4 de ton contrat est très clair sur ce point. Comme, en protestant, tu as accompli un nouvel acte de rébellion je vais accroître la surface que je vais devoir t’épiler cela t’apprendras peut être à réfléchir avant de parler, et dis toi bien que ce résultat est uniquement de ta faute et non pas de la mienne. Cela te rendra peut être un peu moins arrogant et également pourra te faire mieux comprendre que tu n’as pas à contester les décisions de ton Maître»
Quelque part je sais qu’il a raison je murmure
« Oui, Lau… . !! Heu Maître Laurent »
« Maintenant lorsque tu ouvriras la bouche ce sera juste pour me sucer, ça t’évitera de dire des conneries, car on ne parle pas la bouche pleine.. »
S’approchant de moi, il baisse sa braguette et en sort un sexe semi érigé, qu’il pousse fermement sur mes lèvres, je le sens s’enfoncer profondément jusqu’au fond de ma gorge, il me maintient par la nuque si bien que je ne peux m’esquiver sentant le bâton de chair frémir contre ma langue puis peu à peu dilater mes mâchoires.
Tandis que je m’active du mieux que je peux pour essayer de le satisfaire je l’entends me dire :
« Je vais faire de toi une bonne suceuse, et d’ailleurs ta salive sera désormais le seul lubrifiant auquel tu auras droit pour que je me vide dans ton cul et si ça te fait mal c’est parce que tu n’auras pas assez bien salivé sur mon sexe »
Je poursuis ainsi cette fellation f o r c é e quelques instants qui me paraissent bien long, il sait se retenir, puis il se retire de ma bouche me laissant méditer sur ses paroles qui résonnent encore dans ma tête.
Je le vois sortir de son sac une paire de ciseaux ainsi qu’un petit appareil électrique, il cherche des yeux une prise de courant. Il y en a bien une, mais le fil est trop court, il me demande si j’ai une rallonge, je lui indique que dans le petit chalet, à l’autre bout du terrain il y a une grande rallonge sur un touret. Il me fait mettre debout et m’attache les mains dans le dos puis m’ordonne d’aller ainsi chercher la rallonge. Je ne discute pas et traverse ainsi le terrain nu comme un ver sous la pluie, c’est vraiment un bon crachin bien épais et froid. Je sens bien que dans mon dos, à l’abri sous le préau, mon Maître me regarde et que quelque part il se délecte de voir que j’ai des difficultés à ouvrir la porte du chalet avec mes mains entravées derrière le dos. Cela prolonge mon exposition sous la pluie. Quand enfin je parviens à ouvrir et à prendre le touret je suis bien trempé. Pour le retour vers le préau du caveau il m’ordonne de marcher à genoux. Ce n’est pas très brillant, car je traîne comme je peux le touret de la rallonge électrique. Il a l’air visiblement satisfait de me voir ainsi descendre une marche de l’escalier de ma déchéance. Puis me faisant rentrer de nouveau dans la pièce il constate que je suis trempé et tremble de froid mais aussi certainement d’inquiétude.
Sans me détacher les mains, il me fait allonger sur le dos, je me retrouve ainsi le bassin légèrement cambré vers le haut’ un peu comme si je le présentais telle une offrande. Je n’ose plus rien dire et je le regarde tailler avec les ciseaux ma toison. Il m’explique que s’il procédait directement avec l’épilateur ce serait horriblement douloureux. Quelle attention…Par contre lorsque je découvre l’étendue la surface préparée, j’imagine aisément que la zone épilée va s’étendre des aines jusqu’au dessous du nombril. Lorsqu’il touche mes parties intimes, ça ne le gène pas du tout, je ressens même une sorte de détachement comme si, a ses yeux, je n’étais plus qu’un simple objet.
Il prend ensuite l’épilateur électrique et commence à le passer lentement sur la surface dégarnie, ça ronronne doucement en vibrant par contre, lorsque les petits disques arrachent les poils c’est horrible ça tire sec provoquant un bref point de douleur sur ces peaux sensibles. Au fur et à mesure je ressens une multitude de petits picotements et cela devient peu à peu assez énervant, j’ai l’impression d’avoir la peau a vif. Il insiste en faisant de nombreux passages car il tient à ce que cela soit parfait. Ensuite il m’oblige à me retourner, je me retrouve alors dans cette position particulièrement humiliante et ridicule avec les mains toujours attachées derrière le dos et reposant juste sur les genoux et les épaules. J’offre le plus profond de moi-même à mon maître qui poursuit inexorablement son œuvre épilatoire sur la raie et le scrotum. J’ai l’impression d’être un chien dans un salon de toilettage que l’on préparerait pour une exposition, mais je ne peux m’empêcher de penser que l’on me dépouille totalement de mon intimité.
Quand il a terminé, il inspecte minutieusement la surface épilée et semble plutôt satisfait de son travail, il me dit alors :
« Slave 1852, je pense que beaucoup de mes amis t’apprécieront de ce côté, car j’ai bien l’intention de te faire prendre par là, tu seras certainement beaucoup moins fier quand tu subiras ce traitement. Tu vas devenir une sorte d’objet de plaisir et il est bien possible que vicieux comme tu es, tu risques même par finir par en redemander et d’en éprouver du plaisir. Pour que tu prennes bien conscience de ton futur devenir et commencer à préparer ton corps de ce coté, je vais dès à présent y mettre un plug »
.
Ces mots me marquent profondément, je suis horrifié à l’idée de savoir que, désormais, je n’aurais rien à dire à chaque fois qu’il aura envie de me faire saillir, tel un animal. Je ne suis vraiment plus rien à ses yeux sinon un simple objet pour que ses amis viennent se vider en moi. Craignant d’attr a p e r une nouvelle punition je préfère me taire et lorsque je sens l’objet oblong f o r c e r mon entrée secrète je me contracte un peu mais il le pousse fermement et fini par l’enfoncer bien profondément tandis que l’anneau de chair se referme sur la base de l’objet. Je ne sais pas quelle est sa taille ? Mais je sens bien ce corps étranger qui me dilate les entrailles et je l’imagine assez gros. Cela me procure des sensations étranges provoquant même un début d’érection. Il s’en aperçoit, sourit, me relève et me fait aller dans le terrain puis m’oblige à m’allonger sur la poutre, sur le dos, jambes pendantes de part et d’autre du madrier, sous la pluie fine en ajoutant perfidement :
« Ca va te calmer, Slave 1852 »
C’est vrai que cela apaise les picotements de l’épilation et puis, avec le froid et la pluie, mon sexe se rabougri peu à peu, je regarde mon bas ventre totalement lisse avec de nombreux petits points de rougeur. Je regarde les gouttes de pluies perler et rouler, telles des larmes, sur mes aines et descendre ensuite plus bas encore. J’ai froid, je sens mon fondement bien encombré par cet objet que je ne peux retirer, même en poussant très fort et vu dans la position dans la laquelle suis entravé tout effort est complètement inutile. Si je parvenais à le retirer cela me vaudrait très certainement une nouvelle punition que je n’ose même pas imaginer, quand je vois le résultat pour les trois minutes de retard et ma vaine protestation.
J’en suis à ce point dans mes réflexions quand il revient me chercher. Je suis presque content de sa sollicitude car je suis plus que trempé et complètement frigorifié. Je le suis, la démarche un peu particulière à cause de cet objet. Je crois que, vu de dos, je dois avoir l’air complètement indécent car la large base de l’objet semble bien écarter mes deux globes. De retour sous le préau, il me détache les mains de derrière le dos pour mieux m’attacher de face contre un des poteaux. Je suis là, debout, présentant mes fesses, creusant les reins à sa demande.
« Slave 1852, tu te rappelles certainement que ce matin, lorsque nous sommes partis, je t’ai promis une seconde punition. Ce n’est pas la peine que je t’en rappelle le motif, tu t’en souviens très bien. Alors comme je suis sympa avec toi, tu ne vas recevoir que 25 coups de martinet sur le postérieur. Tu devras les compter, à voix haute, chaque coup en me remerciant. Gare à toi si tu te trompes. En plus cette correction va te réchauffer. C’est bien compris ? »
« Oui Maître, et merci de vouloir de vouloir me réchauffer dis je ironiquement »
Il ne semble pas relever cette brève moquerie. La correction commence lentement les coups ne sont pas très appuyés je m’applique à compter
Un, merci Maître,
Deux, merci Maître,
Trois, merci Maître….
Le coups tombent de manière régulière, Il sait doser sa frappe sans b r u t a l i t é c’est presque de l’art, et pour avoir pratiqué, dans le passé, ce genre d’exercice avec des soumises, il faut vraiment être concentré pour bien réussir, je dirais presque fouetter avec amour. Tandis que les coups s’enchaînent sur un rythme de métronome, et que je compte avec attention, n’oubliant pas de prononcer le chiffre suivi d’un merci Maître .A partir du quinzième coup et merci maître, cela comment à me chauffer peu à peu, je dois très certainement avoir les fesses bien rouges. Parfois une lanière un peu fureteuse touche des chairs tendres ce qui provoque une petite douleur somme toute supportable mais me faisant quand même lâcher un petit aie. De même quand il vise avec le martinet en fouettant de bas en haut ou de haut en bas, la base du plug je ressens davantage le coup au plus profond de moi car je sens cet intrus oblong bouger. Ce qui me déconcentre et me fait tromper dans le décompte des coups. Ainsi j’ai du me tromper au 23ème coup ce qui m’en a valu cinq supplémentaires. Quand enfin j’ai prononcé trente merci maître la correction s’est arrêtée laissant place à un silence pesant et pour moi cette impression d’avoir les fesses bien en feu. J’essaie de regarder par-dessus mon épaule pour constater les dégâts, je n’y vois rien de désastreux et pourtant ça me chauffe assez fort.
Il me détache de mon poteau, je le regarde, je suis un peu dans le vague. Il me laisse reprendre peu à peu mes esprits. J’ai l’impression d’être dans un autre monde où tout devient possible. Lorsqu’il revient près de moi il me montre fièrement un ballstretcher. Je regarde l’objet en inox, sur chaque face sont gravées dans le métal, et rehaussées de couleur noire, ces mots « Slave 1852 ». Les lettres font un bon centimètre de hauteur et en dessous gravé avec des lettres un peu plus fines apparaît un numéro de téléphone portable.
Il me fait prendre en main les pièces métalliques, je les regarde dans tous les sens, je les soupèse, cela me semble extrêmement lourd et beaucoup plus gros que celui qu’il m’avait fait voir un jour. Je ne peux m’empêcher de lui en faire la remarque « Maître, celui la fait le double de celui que vous m’aviez montré »
Sans se démonter il m’explique calmement
« Slave 1852, tu as raison, celui-ci fait 60 mm de haut et pèse 600 grammes, j’avais effectivement pensé à 40 mm et 400 grammes, mais, avec toi, j’ai besoin de résultats rapides et je veux une extension accrue, c’est pour cela que j’ai choisi ce modèle et l’ai fait graver à ton nom, dès que tu as signé ton contrat, car j’ai certaines idées te concernant que tu découvriras dans quelques temps »
Je reste pensif et finis par lui répondre
« Mais Maître, c’est impossible c’est trop gros, trop lourd, cela va me blesser. Je ne veux pas, de ça. Je préfère encore être fouetté comme vous venez de le faire, ou encore être donné en pâture à qui bon vous semble, où même subir d’autres traitements encore plus dégradants, mais je vous en supplie je ne veux pas de cet objet »
Il me répond alors d’une manière plutôt ferme :
« Slave 1852, Inutile de supplier, les articles 4, 5 et 6 de ton contrat sont pourtant bien clairs, s’ils ne te convenaient pas tu pouvais les modifier, avant de signer. Depuis quand un esclave aurait il le choix de ses fers ? C’est au maître de déterminer ses marques de propriétés. Tu ne veux pas non plus je te mette un petit objet, une fanfreluche avec du strass et des paillettes ? Tu seras donc ferré comme je l’ai décidé. Saches que je prends note de la mauvaise volonté dont tu fais preuve et crois moi je m’en souviendrai. Maintenant ou tu te montres coopératif pour que je le pose, ou dois je à nouveau t’attacher et te le fixer sans aucun ménagement ?»
Mon choix est plutôt limité. Alors faiblement, dans un souffle, la gorge serrée, je finis par dire un petit « oui Maître je veux bien vous aider ». Il me fait tenir mon sexe par le bout, en le relevant, tandis qu’il étire au maximum sur la peau, pour gagner encore un peu plus de longueur il doit tirer davantage ce qui décalotte le gland v i o l acé par le froid. Pour mettre les deux pièces en place il f o r c e un peu en prenant bien soin, toutefois, de ne pas pincer la peau, puis sortant de sa poche une clef spéciale il commence à mettre en place les vis pour refermer de manière définitive l’assemblage.
Je le regarde inquiet, car sans cette clef il m’est absolument impossible de l’enlever seul, et, je me vois aller chez un mécanicien demander un outil pour pouvoir enlever cet horrible truc. Peut être devine t il mes pensées car lorsque le vissage complet de l’objet est terminé il me dit :
« Slave 1852, comme tu le vois maintenant tu m’appartiens définitivement car moi seul a le pouvoir de te le retirer selon mon bon vouloir. Alors à toi de bien en prendre conscience car maintenant tu es vraiment ma chose ». Sans crier gare, il lâche l’objet d’un seul coup, cela provoque une vive tension avec une douleur a peine supportable en raison de la sensibilité de cet endroit, et pour en rajouter un peu il fait balancer l’objet pendant entre mes cuisses.
C’est vrai que le fait d’être ainsi ferré avec en plus cette marque de propriété et le rappel gravé de ma condition me fait vraiment mieux comprendre ma nouvelle situation et dans quel état de dépendance je suis désormais descendu. Il ne m’a même pas dit s’il l’enlèvera quand on aurait terminé notre journée. Cela m’angoisse.
Tandis qu’il retourne dans la pièce faire je ne sais quoi, je reste ainsi, debout nu sous le préau. Comme j’ai un peu de répit, cela me laisse le temps de réfléchir et de faire un rapide bilan de la matinée. Il a quand même été terriblement dur avec moi me punissant sévèrement la moindre incartade, f o r ç a nt ma bouche sans ménagement, m’obligeant à marcher nu sous la pluie, m’épilant plus que largement et sans aucun ménagement, me promettant des choses assez dures à supporter et maintenant sans se soucier de quoi que ce soit il me laisse seul avec un plug bien enfoncé et un objet bien lourd étirant mes parties.
Perdu dans mes pensées, quand il revient près de moi je sursaute, il me demande de rentrer dans la pièce pour manger. Il a allumé du feu dans la cheminée, une douce chaleur me fait du bien. Une assiette est posée sur la couverture avec dedans des morceaux de pains et de fromage coupés en dés. Il m’ordonne de m’agenouiller sur la couverture devant l’assiette. Instinctivement j’écarte les genoux. Puis il me menotte les mains derrière le dos et me dit :
« Slave 1852, tu as besoin de reprendre des f o r c e s après cette éprouvante matinée, mais tu vas devoir manger sans l’aide de tes mains comme un vulgaire chien. Ne traînes pas trop car il y a encore du dressage au programme de l’après-midi »
Je commence à manger dans cette position dégradante. Ce n’est pas très facile de se pencher en restant en équilibre précaire vers l’assiette pour attr a p e r avec la bouche soit un dé de fromage soit une bouchée pain. J’imagine bien la vision obscène de mon cul relevé bien ouvert par le plug que je peux offrir à mon maître qui tranquillement mange son sandwich comme si je n’existais pas, mais je sens bien que par instant il me regarde. Un autre chose me fait terriblement honte, car à chaque fois que je me penche, je vois le fer d’infamie pendre et étirer mes chairs tendres entre mes cuisses avec mon nom d’esclave que je peux lire dès que je le regarde. Je pense avoir atteint le comble de ma déchéance. Suis je encore moi ? Ou ce Slave 1852 qui peu à peu s’imprime dans mon cerveau ?
Mon assiette vidée, je me redresse et reste ainsi agenouillé droit, je sens le ballstretcher, je n’arrive pas à m’habituer à son poids, j’ai toujours l’impression d’être très étiré. Et puis il y aussi le plug, lui aussi se fait bien sentir, ça fait peut être plus de deux heures qu’il est en moi. Le silence est lourd, seulement troublé par le crépitement du feu dans l’âtre, je me demande bien ce qu’il peut avoir prévu pour l’après midi. Dehors la pluie a cessé, le ciel gris commence à se déchirer par endroit et un pale soleil automnal apparaît par instant.
Lorsqu’il a terminé son sandwich il s’approche de moi et me fait relever, nous ressortons de la pièce, une fois sous le préau il se place face à moi en se reculant de quelques mètres visiblement satisfait du résultat obtenu. Narquois il me dit
« Slave 1852, cet objet te va à ravir, dans cette position on te croirait sur le présentoir d’un marché aux esclaves. C’est sûr tu n’es plus très jeune tu ne vaudrais certainement pas très cher. Mais pour que la présentation soit parfaite il manque un petit quelque chose… attends, j’ai une idée ».
Je reste ainsi, me demandant ce qu’il a pu trouver. Quand il revient, il tient dans sa main un collier avec une laisse, ainsi qu’un gros marqueur (indélébile?). Puis, s’approchant de moi, il inscrit en grosses lettres sur mon pubis fraîchement épilé mon nom d’esclave. Voila qui est mieux dit il puis il me passe ensuite autour du cou un large collier de cuir pour chien et y accroche par le mousqueton une courte mais lourde laisse en métal et la laisse ainsi pendre contre mon corps, la poignée de cuir effleure mon sexe. Il se recule et en profite pour prendre quelques clichés.
J’avais oublié de le mentionner, mais il avait pris depuis le matin de nombreuses photos de mon corps à chaque phase de mon asservissement, sans doute afin de mieux illustrer par la suite mon récit.
Il est visiblement satisfait, c’est ainsi que je le perçois lorsqu’il s’approche pour me détacher les mains de derrière le dos. Il me regarde souriant et me confie « Pour que ta parure soit parfaite il aurait fallu que tu portes à tes poignets et aux chevilles de lourds fers d’acier avec des chaînes ça viendra certainement un jour… »
L’après midi est consacrée à des jeux de chien, c’est bien normal le matin on avait un temps de chien ! Et le midi il m’avait obligé à déjeuner comme un chien !
Ainsi j’ai du ainsi effectuer plusieurs tours de terrain, debout tenu en laisse par mon maître et aussi à quatre pattes toujours tenu en laisse. Parfois nous faisions un arrêt ou je devais de ma bouche maintenir son état d’excitation combien de fois son sexe a-t-il f o r c é mes lèvre cet après midi ?
Lorsqu’il, estimait que son « chien » ne marchait pas bien quelques coups de martinet biens marqués étaient ressentis sur ma croupe. Pendant ces longues marches à quatre pattes j’ai bien compris qu’il tenait surtout à ce que le ballstretcher se balance le plus possible afin que je le ressente davantage et que j’ai encore plus l’impression que cela pende encore plus.
Au bout d’un long moment il me fit faire une pause et me fit prendre cette posture de totale soumission, c’est-à-dire agenouillé le front posé sur l’herbe encore humide de la pluie matinale, les fesses bien relevées et ouvertes à souhait.
« Slave 1852, je vais te retirer le plug, si nous avions davantage de temps je te le laisserais pendant toute une nuit et te ferais dormir enchaîné nu dans un cachot, peut être qu’un jour cela se produira. Mais pour l’instant mais je préfère te laisser ton bijou métallique, car si tu peux retirer un plug, tu ne peux pas par contre enlever le ballstretcher seul, tu devras obligatoirement passer par moi ».
Ce faisant, il commence à le retirer lentement, en s’amusant à effectuer de petits va et vient avec l’objet qui dilate mes entrailles, ce qui provoque chez moi une réaction un peu inattendue de mes sens. Je ressens une sorte d’émotion et une vague de chaleur envahir mon bas ventre. Il a sans doute du s’en apercevoir car alors que je commençais à sentir un plaisir inconnu monter en moi, brutalement il enleva le plug me laissant ainsi palpitant, gémissant de frustration.
Ensuite il me tend l’objet en me demandant de le nettoyer. Je regarde mon Maître pensant qu’il va exiger que je le fasse avec la bouche. Au point où j’en suis, je suis prêt à le faire, quand il me fait comprendre que je dois le nettoyer à l’eau et au produit comme un simple ustensile de cuisine. En le lavant je m’étonne qu’il soit si petit. Moi qui l’imaginais énorme vu la sensation de dilatation qu’il provoquait je découvre un appareil de 12 à 13 cm de long avec un diamètre maximum de 3 cm. Mon Maître avait bien raison de dire que je faisais bien des simagrées pour pas grand-chose.
J’ai l’impression d’être un peu plus libre, mais en fait depuis la pose du ballstretcher mon attention était dispersée sur ces deux objets. Maintenant qu’il n’y en a plus qu’un j’en ressens davantage le poids ou alors est ce du au fait qu’inconsciemment je sais bien que c’est avec celui qui semble fixé de manière inamovible que je suis beaucoup plus dépendant.
Une fois ma « vaisselle » terminée je rejoins mon Maître sous le préau et lui redonne l’objet.
Sans dire un mot il me présente son sexe devant la bouche, j’ai compris je dois bien le sucer et surtout bien saliver. Je veille à bien le faire car je sais que maintenant je suis disponible sur la face arrière il va bien falloir assumer jusqu’au bout, d’ailleurs en ai-je le choix ? cela fait partie de mon contrat d’esclave. Lorsqu’il quitte mes lèvres pour s’enfoncer profondément en moi je serre les dents pour ne pas crier et éviter de m’entendre dire que si je l’avais mieux sucé j’aurai moins mal. Je le laisse s’activer longuement en moi essayant même de participer un peu. Lorsque je le sens secoué de spasmes puis un liquide chaud envahir mon fondement je sais qu’il a apprécié ma docilité .
Tandis qu’il reprend ses esprits je tente alors une question mal formulée et hasardeuse en espérant que peut être que maintenant qu’il est satisfait ça lui plairait de me l’enlever
« Maître, quand pensez vous que vous aller me libérer de cet objet ?
Sa réponse, plutôt cinglante, ne s’est pas fait attendre
« Ecoute Slave 1852, je croyais que tu avais finis par admettre ta condition, je fais ce que je veux, et pour ça comme pour le reste c’est moi qui décide. Alors cesse tes jérémiades et ne m’en parles plus. Ce n’est pas parce que je t’ai libéré du plug et que je me suis vidé les couilles en toi que tu dois t’imaginer que tu as rempli ton contrat et que je te libère de tout. Jusqu’à preuve du contraire tu as signé ce contrat d’esclave et tu dois en assumer sans protester les termes ».
Je vois bien que ma demande l’a visiblement agacé, il me demande alors en termes crus de me masturber devant lui. Je n’ai jamais fais cela. devant une autre personne. Je suis vraiment mal à l’aise. Je descends ma main sur mon sexe et essaie de commencer un lent va et vient, Bien que venant d’être privé de plaisir lors du retrait du plug, je n’y parviens pas, mon érection est faible. Par contre, le mouvement que j’exécute se transmet jusqu’à cet objet qui exerce un véritable mouvement de balancier, avec cette sensation de lourdeur accrue. C’est très douloureux physiquement et aussi mentalement, car je suis submergé par la honte. Au bout de quelques instants je finis par abandonner vaincu, ce qui me vaut de très nombreuses moqueries de la part de mon Maître.
«Tu vois, tu ne peux même plus avoir de plaisir sans ton Maître, cela te montre bien, Slave 1852, que non seulement tu dépends physiquement de moi, mais que maintenant tu es également mentalement dépendant. J’ai bien compris ton fonctionnement et je sais qu’en te maintenant en permanence dans cet état, tu es capable d’accepter et de subir encore davantage rien que pour pouvoir quémander quelques miettes de plaisir. Qu’en penses tu ? »
« C’est vrai Maître, vous avez tout à fait raison, vous m’avez fait subir des choses difficiles, et je sens bien que je vous appartiens psychologiquement. Vous avez parfaitement compris qu’ainsi vous avez brisé peu à peu mes résistances par palier, et, de manière progressive vous me conduisez vers la déchéance complète. Je suis prêt à subir par votre intermédiaire d’autres épreuves »
Mes paroles semblent lourdes de sens, peut être que je n’en mesure pas réellement toute la signification, mais elles sont vraiment sincères. Je vois d’ailleurs à l’expression de son visage que ma réponse lui convient et qu’il comprend qu’elles ne sont pas dictées par une quelconque veulerie de ma part pour obtenir un allègement de ma condition.
Nous passons ensuite quelques temps à jouer au chien. Il lance le plug dans l’herbe, je dois, sur son ordre, aller le chercher à quatre pattes et le ramener dans ma bouche sans l’aide de mes mains. Cela se répète une bonne vingtaine fois et à chaque pas que j’effectue le ballstretcher produit le même effet de balancier et d’étirement de mes parties.
Nous arrivons ainsi à la fin de l’après midi et pour que j’en garde un souvenir un peu chaud il m’administre une longue cinglade avec des coups de martinet bien sentis sur les fesses. Lorsque je suis bien rougi de ce côté, je subis sans aucune préparation salivaire une nouvelle sodomie qui me fait très mal il s’enfonce en moi sans ménagement faisant de longs mouvement de va et vient cela me brûle c’est à peine supportable tandis qu’il me masturbe en même temps je finis par avoir un orgasme qui semble arraché à ma volonté j’en éprouve une certaine gène de m’être ainsi laisser aller tandis qu’il poursuit sont lent pilonnage qui semble durer très longtemps. Finalement il se retire me laissant ouvert , ça me gratte, ça me brûle tandis qu’il s’introduit dans ma bouche et c’est avec ma langue désormais que je dois m’activer pour lui procurer son plaisir que je sens monter en lui. Finalement de longs jets chauds inondent mon palais que j’avale sur son ordre. Je lui nettoie ensuite le sexe sur toute la longueur où j’y retrouve mes odeurs intimes.
Je reste ainsi prostré quelques instants l’esprit vide perdu dans me pensées je trouve que pour une première séance c’est quand même bien chargé appréhendant avec une certaine angoisse les jours où selon ses propres mots il me ferait saillir par ses amis.
Je range ensuite les affaires, puis il me rend mes vêtements et me dit de me rhabiller. Alors je ne sais pas ce qui me prend mais je tombe à genoux à ses pieds en le suppliant de m’enlever ma marque de servage pour rentrer puisque la partie est terminée. Je promets tout et n’importe quoi, de faire tout ce qu’il voudra de moi. Pourvu qu’il m’enlève ce truc. Je ne pense pas avoir été aussi loin dans la supplication. Il me regarde impassible, voulant sans doute briser en moi une dernière résistance. Voyant que rien n’y fait, je me relève et résigné, la m o r t dans l’âme, j’enfile mon pantalon la tête baissée. Je ne mets pas de sous vêtement car il souhaite que je le sente bien pendre désormais, et vu la taille de l’objet ça ne tiendrait pas dedans. Le contact du tissu sur ma peau m’est presque insupportable tant j’ai les fesses qui me brûlent, cuisant souvenir d’une journée peu ordinaire.
Nous refermons le caveau puis empruntons le petit chemin que nous avions pris pour venir. Je marche lentement vraiment pas très à l’aise, le visage défait pour ne pas dire décomposé à l’idée d’avoir cet objet fixé sur moi. Comme si cela n’était pas suffisant, avec les épreuves de cette journée il fallait évidemment qu’on croise la voisine. C’est un vrai moulin à parole
« Ah bonjour monsieur P..,
Vous êtes venu au pays,
Ca faisait un bon moment que je ne vous avais pas vu.
Vous avez bricolé un peu dans votre terrain ?
Je vous ai entendu taper et mesurer
Avec ce temps là, ce n’est pas agréable de travailler sous la pluie
j’ai même hésité à vous porter du café bien chaud. Ça vous aurai réchauffé»
Tandis qu’elle parle je dois progressivement changer de couleur, ses paroles ne me semblent pas anodines et ces allusions sur avoir « entendu taper et mesurer ». je suis certain qu’elle devait être dans son potager juste de l’autre côté du mur et qu’elle a certainement bien entendu les coups de martinet qui s’abattait sur mes fesses et que j’en annonçait le nombre suivi d’un « merci maître ». Ceci explique sans doute que pour en savoir davantage, elle avait eu l’intention de nous porter du café. Heureusement qu’elle n’est pas venu jusqu’au caveau car elle m’aurait vu, tout nu, obéissant comme un chien servile à un homme pour qui je n’étais plus qu’un objet sexuel, sans doute pour moi le comble de la honte
Elle me regarde longuement de haut en bas, j’ai le visage défait,, elle se doute certainement de quelque de quelque chose ? on dirait qu’elle voudrait en savoir davantage. Mon maître écoute la conversation, visiblement amusé de la gène que l’on peut percevoir chez moi. Avant que je ne puisse dire quelque chose elle rajoute :
« Vous avez l’air bien fatigué,
Il faut prendre soin de vous et vous reposer un peu
Faites attention à vos calculs
Mais vous boitez un peu
Vos genoux vous font mal ?
Voulez vous de la pommade ?
J’en ai une très efficace
Si je vous avais vu plus tôt, je vous aurais donné des petits pêchers à planter
Tant pis ce sera pour une autre fois quand vous reviendrez »
Pour abréger la conservation je finis par dire
« Oui nous avons du bricoler sous la pluie et ce n’étais pas très agréable,
Surtout qu’il ne faisait pas très chaud ce matin,
Excusez moi, mais je dois conduire mon collègue à la gare il à un train à prendre »
«Ah oui vous aviez bien raison, il ne faisait pas très chaud ce matin
J’ai déjà rallumé le chauffage chez moi
Bon eh bien je vous laisse à bientôt.
Et soyez prudents sur la route… »
Nous reprenons notre marche dans le chemin et parvenons jusqu’à la voiture. Je n’ose plus rien dire, je dois faire une drôle de tête tandis que mon Maître me dit
« C’était vraiment charmant ce petit intermède avec ta voisine, tu ne savais pas comment t’en débarrasser. Je suis certain qu’elle s’est doutée de quelque chose, elle ne doit pas être dupe avec le bricolage sous la pluie quand à tes genoux douloureux j’aurai bien du dire que oui elle pouvait te mettre de la pommade, tu aurais atteint là le paroxysme de la honte. Quant au froid heureusement qu’elle ne t’a pas vu à poil ou plutôt devrais je dire sans poils. Peut être a t elle devinée que sous ton pantalon il y avait quelque chose… »
J’encaisse ces derniers coups de massue sans broncher en m’installant derrière le volant. J’ai encore les fesses cuisantes de la dernière séance de martinet. Mais ce qui me préoccupe le plus c’est le B S car il me gène pour conduire je dois garder les cuisses légèrement écartées alors je ne roule pas très vite, ce qui fait que le voyage de retour se prolonge. Je ne dis pas un mot, je pense surtout à cet objet métallique. Comment vais-je pouvoir l’enlever, car c’est certain mon Maître, n’a pas l’intention de me l’enlever. J’ai fini par me résigner à cette situation. J’essaie de trouver des solutions et je n’en trouve aucune qui puisse être satisfaisante.
A quelques kilomètres avant l’entrée de la ville mon Maître me fait arrêter sur une aire de stationnement, elle est déserte et les véhicules qui passent sur la voie rapide ne peuvent rien voir car elle est dissimulée par des bosquets. La maréchaussée, d’ailleurs se place là parfois, pour y mettre ou plutôt cacher un radar.
« Slave 1852, tu descends, tu t’écartes de la voiture de cinq pas et tu te mets à poil et tu restes comme ça pour m’attendre »
Encore une nouvelle mise à l’épreuve de sa part, il veut certainement tester mon degré d’obéissance, voir si je suis plus malléable désormais. Je descends donc du véhicule et docilement je m’exécute. Une fois la pose prise. Le temps me parait un peu long (juste quelques photos), je crains que pendant cette séance d’exhibition un véhicule ne vienne sur l’aire de stationnement. Puis le maître me rejoint et je le vois alors sortir de sa poche la fameuse clef et il commence à dévisser le ballstretcher. Lorsque ’enfin je me trouve libéré de cet appareil, je me sens tout à coup beaucoup mieux et le poids que j’avais physiquement et mentalement disparaît comme par magie. Je crois bien je me suis naturellement agenouillé pour embrasser ses chaussures lui offrant une dernière vision de mes fesses copieusement zébrées par le martinet.
« Merci Maître, votre Slave 1852 vous est infiniment reconnaissant pour ce que vous lui avez fait et lui permettre de rentrer chez lui normalement ».
En m’écoutant il ramasse mes vêtement posés à même le sol et présentant le ballstretcher d’une main et de l’autre mes vêtements il me répond :
«Tu te souviens Slave 1852 de la supplication que tu as faite avant de repartir au sujet de cet objet. Tu oublies certainement l’article 12 relatif à la durée du contrat, ainsi que l’article 13 en matière de droits. Ceci mérite bien évidemment une nouverlle punition ,Comme tu vois je ne l’ai pas oubliée et j’espère que tu en es bien conscient, alors voici le choix que tu dois faire soit je te remets le ballstrecher maintenant, et viendrais te le retirer quand j’en aurais envie, soit tu rentres à poil chez toi ? Alors dépêches toi de choisir tu as une minute pour te décider »
C’est un peu court mais je réfléchis rapidement car je ne me vois pas descendre de voiture tout nu et perdre ma réputation dans le quartier, que diraient les voisins?
Lorsqu’il me dit :
«la minute est passée, j’attends ta réponse »
Résigné, je murmure faiblement :
« Remettez moi le ballstretcher Maître»
Il se dépêche de le remettre en place et de bien resserrer les vis. Son regard triomphant contraste avec ma mine déconfite, je ne pensais pas qu’il irait jusque là, que c’était juste pour me mettre à l’épreuve. Lorsqu’il me rend mes vêtements et que je me rhabille j’ai la gorge tellement serrée que je suis incapable de prononcer un mot. Je reprends le volant et nous repartons vers la ville. Il me dit qu’il viendra sans doute me retirer le ballstretcher peu être très tard dans la soirée ou éventuellement demain dans la journée ou peut être pas et que dans ce cas, il faudra bien que j’aille travailler avec cet objet.
Parmi les ordres ou les conseils donnés par mon Maître, tandis que je conduis, je ne dois pas essayer de le retirer moi même et en plus je dois rester à poil chez moi jusqu’à ce qu’il se décide à venir l’enlever. Je devrais bien évidemment lui ouvrir la porte dans cette tenue en signe de soumission.
Pour moi l’ancien dominateur, aujourd’hui c’était une expérience assez particulière, car je me trouvais dans la position inverse, dans un lieu ou je subissais ce que j’avais fait subir à une autre et j’ai bien l’impression d’être complètement piégé par quelqu’un qui m’avait dit qu’il ne connaissait pas grand chose dans ce genre de relation.
Nous nous sommes séparés sur le parking de Limrip, chacun pensant à sa journée de manière différente, et de retour chez moi j’ai pris une douche bien chaude, la trace au marqueur a été un peu difficile à effacer, il en reste encore un peu quand ont regarde de près, mais dans quelques douches il n’y paraîtra plus, quant aux traces laissées par le martinet sur mes fesses, dans 3 ou 4 jours au grand maximum elle auront certainement disparues., cela ne me gène pas de rester nu pour l’instant car j’ai encore les fesses bien brûlantes avec des zébrures bien visibles et je ne pourrais pas supporter le contact d’un vêtement. Par contre, pour l’épilation ce sera certainement beaucoup plus long pour que ça repousse, mais qu’importe, j’ignorais que j’avais la peau aussi douce à cet endroit.
Par contre j’ai longuement regardé le ballstretcher qui me gène à se balancer à chaque pas et me rappelle trop mon servage, me demandant avec angoisse quand va t il venir me le retirer ? Va t il passer avec ses amis pour m’humilier davantage ? Ces questions tournent dans ma tête comme un leitmotiv tandis que j’erre nu dans la maison, je me prépare à dîner mais je n’ai même pas faim, je sursaute au moindre bruit espérant apercevoir le début d’un libération. Rien en vue, je trouve le temps bien long Je finis pas aller me coucher, mais il m’est impossible de trouver le sommeil je me tourne et me retourne dans mon lit et à chaque mouvement ce satané objet me rappelle par sa présence ma condition. Je finis par me relever, j’essaie de faire passer la peau par le centre c’est impossible de la faire, j’essaie avec une lame de couteau pour tenter de dévisser cet engin diabolique tout ce que je réussis à faire c’est de casser la lame du couteau et marquer légèrement le métal sur les vis spéciales. J’en pleure de rage, c’est sûr il va s’apercevoir que j’ai essayé de le défaire. Je ne suis pas très fier de moi. Je n’ai même pas un numéro de téléphone pour l’appeler, lui demander ou plutôt le supplier de me libérer. Je n’arrive pratiquement pas à dormir.
La relecture de mon contrat n’étais pas non plus faite pour me rassurer, ainsi je n’avais plus aucun droit mis à part celui d’obéir aux ordres reçus, je ne pouvais pas non plus le résilier pour tout arrêter et reprendre la liberté car si je devais être vendu ou cédé je doute fort que mes nouveaux propriétaires m’accordent une quelconque libération.
La journée du dimanche est tout aussi longue avec les mêmes angoisses que pendant la nuit c’est horrible de tourner en rond nu en espérant qu’il vienne vite je regarde souvent la pendule j’essaie de penser à autre chose en regardant la télé, au bout de 5 minutes j’arrête car rien ne m’intéresse, je ne mange pas je n’ai pas faim. La nuit commence à tomber je vais devoir aller travailler demain avec cet objet métallique, non je ne veux pas, ce n’est pas possible. Je finis par passer un épais peignoir en tissu éponge. J’en ai marre de me promener nu dans la maison. Est ce une forme de défi ?ou une sorte de révolte puérile. Ca ne change rien, pas un signe de sa part, la nuit me paraît encore plus éprouvante et longue que la précédente. Je cherche une bonne raison pour ne pas aller travailler demain. Finalement je pense avoir la solution j’appellerai mes collègues demain matin pour leur dire que je suis souffrant, cela me laisserai un peu de répit et même si je retarde seulement l’échéance je retiens cette solution. Et un peu rassuré je finis par m’endormir un peu me réveillant parfois en sursaut à cause du ballstretcher.
Pierheim
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